La crue de 2012 à Niamey : un paroxysme du paradoxe du Sahel ?

La crue de 2012 à Niamey : un paroxysme du paradoxe du Sahel ?

Daniel Sighomnou et al., ont publié dans la revue Sécheresse 2013 ; 24 : 3–13 un article de recherche qui montre que le fleuve Niger a connu lors de la mousson 2012 sa plus forte crue jamais enregistrée à Niamey,et une inondation de vastes secteurs y compris dans la capitale du Niger. A une tendance de fond à l’augmentation des coefficients de ruissellement en zone sahélienne, liée à l’encroûtement des sols, s’est ajoutée une  pluviométrie exceptionnelle (la plus forte depuis le début de la sécheresse du Sahel en 1968).

Les dégâts ont été très importants, et cet évènement doit faire prendre conscience aux décideurs de l’augmentation des écoulements qui a pour corollaire l’accroissement du risque d’inondation.
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