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Adaptation: Généralités
L’adaptation aux changements climatiques désigne les stratégies, initiatives et mesures individuelles ou collectives (entreprises, associations, collectivités, etc.) visant, par des mesures adaptées, à réduire la vulnérabilité des systèmes naturels et humains contre les effets réels ou attendus des changements climatiques (Glossaire IPCC). On peut dire également que l’adaptation permet l'ajustement des systèmes naturels ou humains en réponse à des stimuli climatiques présents ou futurs ou à leurs effets, afin d’atténuer les effets néfastes ou d’exploiter des opportunités bénéfiques.
Adaptation agriculture pluviale
Adaptation au changement climatique pour l'agriculture pluviale
Quelques pratique innovante d'adaptation au changement climatique au Sahel
A/ Adaptation au changement climatique pour l'agriculture pluviale et quelques pratiques d'adaptation ou gestion durable des terres (GDT) au niveau local
L'agriculture pluviale est caractérisée par la précarité climatique qui oblige les agriculteurs à mettre en oeuvre plusieurs stratégies d'adaptation afin de gérer l'eau, la terre, les nuisibles des cultures, les intrants, etc.
Quelque soit le gradient climatique, les producteurs font face aux effets souvent pervers des facteurs climatiques que sont la pluie, la température, les vents, etc. Plusieurs facteurs combinés provoquent la cause de la dégradation des terres et de l'environnement : le déboisement et la déforestation, les feux de brousse, le surpâturage, le ruissellement et l'érosion hydrique ou éolienne, la sécheresse, les pratiques agricoles inadaptées, la pression foncière, le manque de fertilisation organique, etc.
Adaptation en zones pastorales et agropastorales
Bref aperçu historique
Quelques outils du CILSS
Quelques pratiques sur le terrain
Le secteur pastoral est d'une importance cruciale en Afrique de l'Ouest. L'élevage est ainsi vu pour beaucoup comme une thésaurisation, une "banque paysanne" et contribue ainsi à la diminution de la vulnérabilité des ménages. Il représente une dizaine de % du PIB de certaines zones des pays sahéliens et notamment le Mali, Niger et Tchad qui exportent vers les pays côtiers du Golfe de Guinée notamment. Ces zones pastorales sont particulièrement arides et l'élevage est l'activité principale qui les valorise.
Adaptation en agriculture irriguée
les types d’aménagements présents dans l’espace CEDEAO
La zone sahélienne du CILSS possède un potentiel irrigable de 4 millions d’hectares, la moitié se trouvant dans la zone office du Niger. Sur ce potentiel, seulement 20 % sont effectivement exploités, dont à peine plus de 5 % en maîtrise totale de l’eau. Dans les pays du golfe de Guinée, le potentiel irrigable n'est quant à lui valorisé qu'à hauteur de 10 %.
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